Il était dans un taxi de Chicago, il n'avait plus de maquillage, plus de projecteur sur sa petite personne. Il était perdu dans cette grande ville qui était celle ou qu'il avait grandit. Il était partit de son pays d'enfance pou revenir chez lui. Il était là dans ce taxi à se demandé pourquoi il était ici; Pour pleuré sur la tombe de son père adoptif perdu. Pour consoler une mère adoptive tout le temps absente de sa vie. Pour faire le bon fils à son père et reprendre l'entreprise familiale.

Qui était il vraiment voilà les question qui tracassait notre jeune Sanders. Il était le fils adoptif d'un homme riche et surtout très aimant, mais très peu compréhensif. Le fils d'un couple qui le haïssait parce qu'il était un garçon et non la petite fille longtemps désiré. Il n'avait pas envie de retourner s'enfermer dans une grande villa qui serait encore vide. Il n'avait pas la tête à se saouler avec des personnes inconnus. IL avait envie de parler mais à qui. Jenny, non elle s'inquiéterait de sa santé mental. Lexi, elle essayerait de le consoler, mais il aurait trop l'impression d'être un gamin pleurnichard. Ian, non pas lui, il n'était plus ami depuis bien longtemps.

Il fit tout de même arrêter la voiture devant la villa de chez Ian et Lexi. Il verrait bien qui des deux allait lui ouvrir la porte. Si c'était Lexi, alors il s'amuserait à faire celui qui va bien. Si c'était Ian. il ne savait pas comment il allait réagir. Il passa sa main dans ses cheveux tendit les billets et descendit du Taxi. Il tendit un autre billet et lui donna son adresse lui disant de déposé ses bagages chez lui. Il passa un coup de file à son oncle lui demandant si il pouvait envoyer une personne récupérer ses valises. Il monta enfin les marches et frappa sur la porte. Il avait maintenant tout de suite de partir. Il avait aussi besoins de parler à une personne. Il attendit deux minutes et allait partir quand la porte s'ouvrit.

Je me demande pourquoi des gens viennent toujours chez nous quand on en a pas envie. J'vous jure. Je viens de poser mon cul, et quelqu'un sonne à la porte. J'ai mal au crâne, j'suis en boxer, la tête dans le cul, et il faut que quelqu'un vienne m'emmerder. Forcément. Fait chier.
Je me lève, enfile un bermuda et un tee-shirt noir, chausse une paire de tongs, puis je sors de ma chambre. Mon regard passe droit devant moi, vers la chambre de Lexi. Sa porte est fermée depuis hier après-midi, je ne sais pas où elle est. Pas ici, en tout cas, sinon on serait ensemble. C'est rare quand on est là et qu'on reste chacun de son côté. Même quand des potes à nous sont là. De toute façon, mes potes, ils aiment Lexi, ou ils vont se faire foutre. Tant pis pour eux.
Je finis par descendre les escaliers, traverser le salon et arriver dans le hall d'entrée. Faudra qu'on m'explique pourquoi mes parents ont acheté une aussi grande maison, alors qu'ils ne vivent jamais ici et sont en permanence en déplacement. Un appartement m'aurait suffit, tant que j'ai un peu d'intimité pour ramener des ami(e)s.
J'ouvris la porte. Ô, surprise. Ça fait une éternité que je n'ai pas vu Hiro. On s'entendait pas super bien, lui et moi. J'aime pas qu'on s'approche de Lexi.

« Hiro ? .. si tu veux voir Lexi, elle n'est pas là. Je sais pas où elle est. Tu peux toujours entrer et l'attendre, si tu veux. »

Je me poussais et le laissais entrer à l'intérieur de la villa, refermant la porte derrière lui.